Trois êtres, trois solitudes, se font écho l’une l’autre dans de petites scènes ciselées. Entremêlant leurs mots et leurs corps, ils créent des situations absurdes et burlesques à travers le cirque, la danse, la musique et le clown.

Par un travail chorégraphique laissant place à l’improvisation et au partage avec le public, ils contribuent à déployer, déplier, donner à voir l’univers intérieur de celui qui s’exprime. Les paroles sont une mise à nu de la pensée : encore à l’état sauvage, encore humide des rêves ou de la terreur.

Par quoi sommes-nous mus ? Quand nos choix semblent de plus en plus conditionnés, quelle part de liberté nous reste-t-il ? Ici, les corps des artistes sont mis en jeu par le biais d'aimants puissants pour créer des situations de "gravité transformée".

Dans cet étrange univers magnétique, les personnages sont soumis à des forces invisibles qui bouleversent les lois naturelles et les réduisent à l'état de marionnettes.

Au plafond ou sur les murs surviennent alors des situations invraisemblables.

Une chronique sociale traitée en images comme une BD. Une fable graphique. C’est un album photo que l’on feuillette au hasard, et d’où les souvenirs surgissent avec leurs formes propres, selon qu’ils soient sonores, visuels, charnels, selon qu’ils soient précis, flous, joyeux ou mélancoliques.

Ces souvenirs sont ceux du personnel d’une petite entreprise qui vit ses derniers jours à la suite de la mort de son fondateur. Du combat des employés contre les héritiers qui veulent brader l’entreprise

Avec l'humour qui la caractérise, la compagnie Annibal et ses éléphants s'associe au dessinateur de presse Rémi Malingrëy pour dénoncer les dysfonctionnements du monde de l'entreprise

[sañg kum ta] n. Khmer : espoir

La nouvelle création d’Artonik est un voyage en douze tableaux autour d’un propos, la quête de l’eau, ce bien si précieux et si mal partagé sur la planète.

Sinuant de nuit dans les rues, comme le Mekong coule de la Chine vers les vallées cambodgiennes, Artonik livre une ode sensible aux couleurs de l’Asie dans laquelle les traditions Khmer s’harmonisent avec une production chorégraphique, graphique et musicale contemporaine.

Un cri d’alerte et d’espoir sur l’inégalité de l’accès à l’eau à travers une promenade de théâtre dansé

Le Pasha Disco Club ou l’histoire méconnue et drôle de la « Disco Propaganda » : la conquête de l’Est par la musique Disco. À grand coup de boule à facettes et à dos de pattes d’éléphants, Raspoutine et Confucius, vous commentent cette aventure hors du temps entre Minsk et Tokyo - tandis que le grand orchestre de Pasha Grigorievich exécute fiévreusement des standards Biélorusses ou Coréens ! Le Pasha Disco Club… le spectacle musical pour danser sans retenue.

Embarquez pour un bal endiablé et découvrez l’histoire complètement déjantée de la Disco Propaganda 

avec Aurélie Dabre, Frédérique Espitalier, Jean Guillaud, Christophe Matuziak, Valérie Liatard, Jean-Marie Louche, Jean-Christophe Prince, Maurice Tragni, Nicolas Vitas, régie Jean-Michel Herrera, Julien Huraux

Dans son bureau et devant ses piles de papiers à classer, il rêve de vacances. Mais sa chef n’est jamais très loin, bien décidée à le remettre à l’ouvrage ! Mais... est-ce sa maladresse ou l’effet de ses rêveries, il lui semblerait bien qu’il n’est pas le seul responsable de l’ambiance d’apocalypse qui règne dans son espace de travail...

Une place privilégiée à la magie qui, sans prendre les devants de la scène, appuie les propos poétiques ou burlesques.